Gwendoline O'Maley

Nom:O'Maley
Prénom:Gwendoline
Age: 16
Année:6eme

Caractère [4 lignes minimum]:Gwendoline est une jeune femme presque agreable, et c'est sans doute sa principale qualité. Elle est à l'écoute, et aide les autres. Enfin, quand ça l'arrange. Ou bien, quand elle a un intérêt à aider. Oui, ellle ne fait les choses que par intérêt, sinon, à quoi cela servirait-il ? Elle a tout de même su allier ses deux éducations : être serviable, et ne penser qu'à elle. Un joli cocktail, cette fille. Elle est joueuse, et elle le montre souvent. Aussi bien avec les autres qu'avec de véritables jeux d'enfants. Gwedoline est d'une nature sensible, et cette sensibilité peut être aimée par certains. Mais la plupart du temps, elle la cache derrière un masque de dureté et de froideur, pour ne pas se laisser toucher et manipuler. Elle l'a appris à ses dépend : la confiance tue. C'est pourquoi elle ne l'a accordée qu'à son frère, puisqu'il a le même caratcère qu'elle. La jeune fille peut être qualifiée d'origniale, si on peut dire. Elle sort effectivement de l'ordinaire, mais de là à ce que cela soit une qualité... Ce n'est pas sûr. Elle a des goûts particuliers, que peu de gens ont, et elle aime ça. Son anti-conformisme en tuera plus d'un. Elle est une bonne sorcière, qui manie sa baguette avec précision et vitesse. Si elle travaille, elle pourrait devenir redoutable. Avec des "si", on pourrait refaire le monde.
Pour avoir des défauts, Clémence en a, et tout un paquet ! Elle est d'abord très, très impulsive, et réagit au quart de tour. Il ne faut pas la provoquer, au risque de se voir abîmé. Son caractère, doux en apparence, est en vérité dur et sec, tranchant. Elle est têtue, veut toujours avoir raison, et ne lésine pas pour s'assurer la victoire. Elle est également une bonne oratrice, ce qui lui permet de manipuler les gens à sa guise, pour en tirer tout ce qu'elle veut. Malgré cela, elle n'est pas vraiment maléfique. Elle est juste... Spéciale, mais on ne peut rien y faire. Elle n'a absolument pas l'intention de changer, ça non ! Gwendoline est d'une nature sauvage, et ne fait confiance à personne. Elle aime être seule, cela lui permet de réfléchir et de faire le point sur ses pensées. Mais cette sauvagerie a quelques inconvénients : elle n'est pas très bavarde, et peut parfois se murer derrière un silence pesant quand elle se sent menacée. C'est ça, ou bien elle attaque. Et croyez-moi, ça ne fait pas du bien.
Des peurs... Elle n'en a pas vraiment. Elle est un peu je-m'en-fous-tiste, aussi rien ne la touche. Presque rien, ou s'il y a quelque chose, elle fait tout son possible pour le cacher. On peut dire qu'elle n'aime pas la foule, c'est sans doute ce qui l'oppresse le plus. Oh, et il y a bien... Les gens coincés. Oui, elle ne les supportent pas. Elle aime bien jouer les petites saintes, mais c'est ensuite pour mieux laisser place à sa vraie nature, légèrement pervetie par l'influence des Mangemorts, à laquelle elle ne cède pas pour autant.
Il faut toujours se méfier de l'eau qui dort.
En résumé, Gwendoline est une sorte d'animal sauvage, que personne n'a encore jamais apprivoisé. elle est plus narcissique que jamais, et son caractère de chien est bien connu de Poudlard. Elle ne laisse pas faire, et a une légère tendance à en faire trop. Mais elle n'y peut rien, c'est sans doute ce qui fait son charme...


Physique [3 lignes minimum]:Beaucoup de fille déteste leur corps, trouvant leurs fesses ou leurs seins trop petit, ou encore trop grand, un menton trop pointu et une bouche pas assez centrer,mais pas Gwen, elle se trouve parfaite.

Elle a une poitrine assez grosse, se qui attire les garçons vers elle, mais surtout, sa poitrine va assez bien avec ses fesses qui elles sont plus petites, et moins voyantes. Son corps est fin, mais elle n'est pas maigre, la preuve elle adore les patiseries, et surtout le chocolat !! Mais tout cela ne fait pas d'elle une sorcière grosse n'ont plus, car pendant les repas elle fait attention a sa ligne ^^ Bah oui quand même.

Sa tête est triangulaire, avec un menton assez pointu, qui va très bien avec ses yeux étirer. Sa chevelure est longue, descendent encore un peu plus bat que ses fesses. Une franche s'arrêtant au milieux de ses yeux cache tout son front, qui celui ci est assez grand.

Un tatouage orne son épaule droite (ou gauche je sais plus xD) représentant un fleur en vert et argenté, oui les couleurs de serpentard.
Histoire [5 lignes minimum]:« J’ai bien entendu ? Il vient de me traiter de nabot ce minus ? Personne ne traite Gwen de minus compris le gnome ? »

M’écriais je avec une hargne renouvelée. Comment ce crétin au visage rubicond et inexpressif, porteur de robe de sorcier trois fois trop grandes pour son ossature de nain de jardin se permettait il de l’ouvrir pour des commentaires stupides sur ma taille ? J’ai beau de ne pas être très grand, un frère cadet, ça vous doit le respect non ?! D’autant plus quand il ouvre stupidement la bouche à la manière d’un poisson hors de l’eau pour trouver une réplique bien cinglante qui ne lui viendra pas. On ne peut pas être insolent et idiot à ce point, j’en suis convaincu. Et puis c’est quoi ça, cette espèce de baguette décatie avec laquelle il me menace d’une main tremblotante ? Décidemment, difficile de tomber plus bas dans le registre de la famille qu’on cache honteusement a ses camarades d’école. Je m’emmêle sous l’effet de la colère qui touche l’un des points sensibles de ma personnalité aux innombrables complexes dont celui de ma silhouette trop fluette pour une fille de mon âge. Je n’aime pas qu’on me dise que je suis « mignogne ». On dit d’un bébé qu’il est mignon ! Pas d’une fille de bientôt onze années consécutives auprès d’une famille de 4 enfants. Et puis ce morveux n’a pas à relever le menton alors que je suis l’aîné de 3 ans.

« C’est clair le rasibus ? ».
"Maiiiis"

Ca, c’est une de mes nouvelles insultes soigneusement choisies au préalable pour l’un de mes charmants frangins et plus particulièrement Mathé qui tient bond en face de main, les mains résolument posées sur son bout de bois. Je sais, ma remarque est loin d’être très concluante mais elle a l’effet bénéfique de provoquer chez ce gosse insupportable le traditionnel bafouillage et tremblement de menton sous l’effet d’une peur légère qu’il tente de contrôler par fierté de petit garçon., les yeux brillant de défis qui m’affronte du regard. Depuis qu’il a découvert ses premiers signes d’un pouvoir irréfutablement magique, il se croit supérieur au reste de la maison en raison de son avance a ce stade et niveau et s’imagine pouvoir me faire fuir d’un claquement de doigts. Rien compris celui là et je vais lui faire amèrement regretter sa pseudo insulte en le pendant au porte serviette tête la première è__é. Quelle idée aussi de lui avoir déjà acheté sa baguette qu’il s’amuse avec impertinence a secouer dans tous les sens. A ce sujet, maman s’est montré tout sauf possessive d’un esprit terre a terre vis-à-vis de son plus jeune morveux. Faut dire que quitte a acheté la mienne, autant tout faire d’une traite et obtenir une bonne place au « roi de la baguette ». Vous l’aurez deviné, je ne vis pas en Angleterre mais en France, et cette boutique est sûrement l’une des plus réputé du pays du béret et de la baguette de pain. Caricatural mais pas si éloigné de la vérité en fin de compte.

« Mam… aaan ! » gémit déjà mon souffre douleur préféré secoué de grosses larmes qui coulent sur ses joues. « Gwen est… elle est méchaante ! ». Déjà, ses cris résonnent dans la maison et je sens l’annonce d’un orage imminent.

« Mais ta gueule le nain ! Tu signes mon arrêt de mort là ! » M’écriai je en plaquant une main sur sa bouche qui tente désespérément de poursuivre son monologue de la pauvre victime prise aux mains terrifiantes d’une aîné sadique. Et devinez alors la réponse de mon cadet ?

« Trois chocogrenouille et jdis’ rien a the mother ». Ca c’est son grand trip : le francanglais, mélange fouillis de ces deux langues qu’il se plait a combiner pour se donner un semblant de style provisoirement pathétique. N’empêche qu’en attendant une réponse définitive, il m’arnaque ce bout de machin !

« Dans tes rêves morveux ! »

« mamaaaaaan ! » s’époumone le frangin, vexé a l’évidence, dans un hurlement équivalent a en rendre jaloux une beuglante. « Il veut me pendre au porte serviiiette ! mamaaan ! ». merlin, des pas qui montent de l’escalier. Dans ma grande carrière d’aîné vis-à-vis de mattou (appelons le par son surnom, histoire de le rendre un peu plus humain), j’ai pu diagnostiquer un fait particulièrement étrange : on donne toujours raison au plus petit et dans le cas où cet espèce de lutin braille, je suis constamment en tort, peu importe le fait que je sois mignon et que je fasse particulièrement jeune. Déjà, je sens qu’il prépare la fontaine, une technique astucieuse et redoutable qui consiste en les larmes les plus lourdes possibles et l’expression du pauvre petit terrifié. Il l’a compris : ça marche, dans une large majorité des cas. M’en fout, cette chose me le paiera très cher.

C’est sûrement l’une des choses que l’on me reproche allègrement : de une mes innombrables complexes dont celui de la taille et de deux, ma légendaire rancune mais que voulez vous ? Je suis de ce genre là : un camarade m’a gentiment piqué un gâteau en maternelle pendant la sieste de 4 heure, je lui en voudrais toujours arrivé au collège. Idiot ? Pt’être bien mais en attendant, je m’en suis toujours sortit comme ça malgré ma tendance a m’énerver vite. Vous connaissez peut être ce programme moldue ou son présentement là les daltons ? Et bien Joe, on pourrait le comparer a moi d’après ma mère. Pas grave, vu qu’Averell, ce serait mon petit frère. Comme quoi…

J’entends les pas de ma mère qui résonnent tandis qu’elle monte et que mattou se jette éperdument dans ses bras. Le voilà devenu sentimental ! « C'est quoi encore cette histoire ? ». C’est partit. Dans ma tête, je compte paisiblement jusqu’a10, de 0 a 5, pas de quoi s’inquiété, mais a partir du chiffre dix, ma mère devient une véritable tornade. Coup de chance, elle a l’air occupée a autre chose et c’est a regret que mon souffre douleur se détache d’elle en acceptant sa défaite. « Gwendou, on a reçut ta lettre pour Poudlard ».
« … »

Je n’aime pas ce surnom, ou plutôt ce qualificatif ou sobriquet que je juge dévalorisant, au même niveau que le qualificatif « mignon ». J’ai beau ne pas être très grand et avoir des airs de petites filles, je n’en suis pas moins un bébé mais, peut être par habitude et parce qu’il s’agit de ma mère dans un cadre privée, je ne dis rien, contrairement à l’habitude. D’où vient il ? Je ne m’en souvins plus, une anecdote sûrement tordante aux yeux de la famille.

Papa est muté en Angleterre dans trois semaines et les préparatifs nous prennent beaucoup de temps libre, en particulier a mes parents et a l’unique sœur de la famille qui, rentrée pour les vacances d’été, ne s’est jamais autant activé a une tâche ménagère. Elle a finit ses études a Beaubâtons cette année et je sais qu’elle a en impatience de partir à Londres pour assouvir ses grades envies d’avenir, douée mais insupportable (de famille apparemment). Elle entre à l’UMA pour une formation nébuleuse de langue de plomb, prétendant une attirance soudaine et, de mon avis, saugrenue, pour le mystère. Personnellement, j’appréhende ce déménagement : je quitte des amis et une vie fondée et puis… et puis rien a bien y réfléchir, juste que je ne sais pas par où commencer. L’air de rien, j’ai appris, beaucoup. J’ai dévoré l’histoire de Poudlard en une nuit, plus par goût qu’obligation malgré les conseils harassants de Ana vis-à-vis des études. Je m’en défends, mais, l’air de rien, c’est quelque chose qui m’inquiète : des amis, j’en ai toujours eu facilement mais si je n’y arrivais pas ? Pas question que ce crétin congénital de Mattou soi plus doué que moi, manquerait plus qu’il me batte ! De quoi j’aurais l’air moi ?!


Particularité(s):Fourchelang

Animal [hiboux, chouette, rat, crapaud ou chat]:Chatte
Baguette [bois, longueur, contenu]:

Ta maison sera ...
SERPENTARD